Fagoté plaisamment comme un vrai Simonnet,

Pied chaussé, l’autre nu, main au nez, l’autre en poche,

J’arpente un vieux grenier, portant sur ma caboche

Un coffin de Hollande en guise de bonnet.
Là, faisant quelquefois le saut du sansonnet

Et dandinant du cul comme un sonneur de cloche,

Je m’égueule de rire, écrivant d’une broche

En mots de Pathelin ce grotesque sonnet.
Mes esprits, à cheval sur ces coquecigrues,

Ainsi que papillons s’envolent dans les nues,

Y cherchant quelque fin qu’on ne puisse trouver.
Nargue ! C’est trop rêver, c’est trop ronger ses ongles

Si quelqu’un sait la rime, il peut bien l’achever.

Évaluations et critiques :

Sonnet inachevé
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Partagez votre poésie avec le monde! Quelle est votre opinion sur ce poème?

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x