Le grand flambeau gouverneur de l’année

Le grand flambeau gouverneur de l’année,

Par la vertu de l’enflammée corne

Du blanc thaureau, prez, montz, rivaiges orne

De mainte fleur du sang des princes née.
Puis de son char la rouë estant tournée

Vers le cartier prochain du Capricorne,

Froid est le vent, la saison nue et morne,

Et toute fleur devient seiche et fanée.
Ainsi, alors que sur moy tu etens,

Ô mon Soleil ! tes clercs rayons epars,

Sentir me fais un gracieux printens.
Mais tout soudain que de moy tu depars,

Je sens en moy venir de toutes pars

Plus d’un hyver, tout en un mesme tens.

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Le grand flambeau gouverneur de l’année
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