Géronte d’une autre Isabelle,
A quoi t’occupes-tu
D’user un reste de vertu
Contre cette rebelle ?
La perfide se rit de toi,
Plus elle t’encourage.
Sa lèvre même est un outrage.
Viens, gagnons notre toit.
Temps est de fuir l’amour, Géronte,
Et son arc irrité.
L’amour, au déclin de l’été,
Ni la mer, ne s’affronte.
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