Saigon : entre un ciel d’escarboucle

Saigon : entre un ciel d’escarboucle

Et les flots incertains,

Du bruit, des gens de fièvre teints ;

Sur le sanglant carboucle.
Et, seule où l’oeil se recréât,

Pendait au toit d’un bouge

L’améthyste, dans tout ce rouge,

D’un bougainvilléa :
Tel aujourd’hui, sous la voilette,

Calice double et frais,

Mon regard vous boit à longs traits,

Beaux yeux de violette.

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Saigon : entre un ciel d’escarboucle
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