Comme la nuit est lointainement pleine

De silencieuse infinité claire !

Pas le moindre écho des gens de la terre,

Sous la Lune méditerranéenne !
Voilà le Néant dans sa pâle gangue,

Voilà notre Hostie et sa Sainte-Table,

Le seul bras d’ami par l’Inconnaissable,

Le seul mot solvable en nos folles langues !
Au-delà des cris choisis des époques,

Au-delà des sens, des larmes, des vierges,

Voilà quel astre indiscutable émerge,

Voilà l’immortel et seul soliloque !
Et toi, là-bas, pot-au-feu, pauvre Terre !

Avec tes essais de mettre en rubriques

Tes reflets perdus du Grand Dynamique,

Tu fais un métier ah ! bien sédentaire !

Évaluations et critiques :

Au large
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Votre avis compte! Laissez-nous savoir ce que vous pensez de ce poème et montrez-nous que vous êtes un grand poète!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x