A Claudius Popelin.
La gloire a sillonné de ses illustres rides

Le visage hardi de ce grand Cavalier

Qui porte sur son front que nul n’a fait plier

Le hâle de la guerre et des soleils torrides.
En tous lieux, Côte-Ferme, îles, sierras arides,

Il a planté la croix, et, depuis l’escalier

Des Andes, promené son pennon familier

Jusqu’au golfe orageux qui blanchit les Florides.
Pour ses derniers neveux, Claudius, tes pinceaux,

Sous l’armure de bronze aux splendides rinceaux,

Font revivre l’aïeul fier et mélancolique ;
Et ses yeux assombris semblent chercher encor

Dans le ciel de l’émail ardent et métallique

Les éblouissements de la Castille d’Or.

Évaluations et critiques :

L’ancêtre
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