Ô jour qui meurs à songer d’elle

Ô jour qui meurs à songer d’elle

Un songe sans raison,

Entre les plis du noir gazon

Et la rouge asphodèle ;
N’est-ce pas, aux feux du plaisir

Inclinée et rebelle,

Elle encor, mais cent fois plus belle,

Et de flamme à saisir ?
… là-bas monte la voix dernière

D’un bouvier sous les cieux.

On n’entend plus que ses essieux

Qui grincent dans l’ornière.

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Ô jour qui meurs à songer d’elle
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