Denise disait aux merveilles

Le soir traînait des hirondelles. Les hiboux

Partageaient le soleil et pesaient sur la terre

Comme les pas jamais lassés d’un solitaire

Plus pâle que nature et dormant tout debout.
Le soir trainait des armes blanches sur nos têtes.

Le courage brûlait les femmes parmi nous,

Elles pleuraient, elles criaient comme des bêtes,

Les homme inquiets s’étaient mis à genoux.
Le soir, un rien, une hirondelle qui dépasse,

Très peu de vent, les feuilles qui ne tombent plus,

Un beau détail, un sortilège sans vertus,

Pour un regard qui n’a jamais compris l’espace.

Évaluations et critiques :

Denise disait aux merveilles
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Partagez votre interprétation de ce poème et faites-nous part de vos idées créatives!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x