Parmi des chênes, accoudée

Parmi des chênes, accoudée

Sur la colline au vert gazon,

Se dresse la blanche maison,

De chèvrefeuille enguirlandée.
A la fenêtre, où dans des pots,

Fleurit la pâle marguerite,

Soupire une autre Marguerite :

Mon coeur a perdu son repos…
Le lin moule sa gorge plate

Riche de candides aveux,

Et la splendeur de ses cheveux

Ainsi qu’un orbe d’or éclate.
Va-t-elle murmurer mon nom ?

Irons-nous encor sous les graves

Porches du vieux burg des burgraves ?

Songe éteint, renaîtras-tu ? – non !

Évaluations et critiques :

Parmi des chênes, accoudée
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.singularReviewCountLabel }}
{{ reviewsTotal }}{{ options.labels.pluralReviewCountLabel }}
{{ options.labels.newReviewButton }}
{{ userData.canReview.message }}

Vous avez des choses à dire sur ce poème? Partagez-les! Nous voulons savoir ce que vous en pensez!

S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x